Elle m’a laissée là sur ce bord de route Avec rage je l'as hais Ce sentiment de destruction me dégoute Et pourtant c'est tout ce que je suis, ce qui est M'obligeant à être comme elle Je prise mes rêves, mes ailes Avec tout l'amour que je contiens Je lui déclare mon chagrin Elle me laisse seule encore une fois Dirige ma vie, mon destin Pourquoi ne pas accepter ses choix? Pour moi il n'y a peut-être qu'une fin Elle me donne la vie En fait ce dont elle a envie Je reste passive et me renferme Sur ce qui me reste je le blâme A quoi me sert-il de résister Il n'y a plus de solution j'ai encore échouée Elle me laisse seule, m'abandonne J'en souffre en silence et me tais Pour elle je ne suis plus rien, à sa fille elle ne donne Car jusqu'à la fin de sa vie elle ne pourra me pardonner ;

Je ne veux plus faire partie de ce monde 
Où les enfants ne font plus de rondes 
On me demande sans cesse d'être courageuse 
D'arrêter d'être rêveuse 
Mais je ne sais plus rêver 
Je me coupe à en hurlerJe ne vous demande plus de me comprendre 
Plus de m'enttendre 
Seulement de ne pas me juger 
De me laisser m'ennaler 
Loin de cette vie sans air 
Doucement je fermerais mes paupières 
Pour me retrouver tout droit en enfer 
Voilà à quoi se résume ma vie 
A un combat sans repit 
Qui m'a bercé jusqu'à la mort 
Là où est mon sort 
Je ne veux plus faire partie de cette galaxie 
Qui n'est pas le paradis... 
Laissez-moi partir je vous en prie

Le 14 février, jour de la St Valentin 
On m'a dit que c'etais un jour super bien 
Et j'y croyais 
Je me disais que c'etais vrai 
Tu m'as dit je t'aime 
Je t'ai dit je t'aime 
Je nageais en plein bonheur 
Je t'avais donner mon coeur 
Mais au bout d'une semaine 
Tu l'as rempli de haine 
Tu l'as salit 
Tu l'as detruit 
Tu l'as briser 
Tu l'as tuer 
Avant je me disais: 
"Le jour de la St Valentin 
Avec mon copain"
Maintenant, c'est: 
"Aujourd'hui, jour de la St Valentin 
Aujourd'hui, jour de chagrin"

Comme un cœur éviscéré
Une flèche une vie même
Etranglé à en crevé
Un instant où la mort sème

Les yeux du monde subissent
Le sang qui coule en torrent
Tous les terribles sévices
Du silencieux cormoran

Ces horribles faussaires
Auront brûlé aussitôt
Allumeurs de réverbères
Simples hères ou bien badaud